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Si l’histoire des Hamonet d’Argentine m’était contée
Avant-propos
![]() ![]() AVANT PROPOS
« C’est une chose étrange à la fin que le monde
![]() De chacun de ces vers, un écrivain français, Jean d’Ormesson, a fait le titre de ses deux derniers livres. Et pour moi, c’est aussi une chose étrange que le roman-feuilleton que je vous propose. « I have a dream » - pas aussi historique que celui-de Martin Luther King. J’ai fait un rêve très inconséquent, en fait, celui d’écrire le roman feuilleton de la saga des Hamonet partis de France vers la Louisiane puis l’Argentine.
Le premier déclic avait été la rencontre avec Agustin Gastón Hamonet de Buenos Aires, il y a dix ans déjà, suivi de longs échanges via Internet, de la passion mise par Gastón - c’est ainsi qu’il préfère se nommer - pour retrouver ses racines, allant fouiller les archives officielles pour faire revivre les fantômes. Bien sûr, jamais les fantômes ne revivent. Ils conservent toujours leur part d’ombre. Même du sang et des larmes les accompagnent. Néanmoins la quête nourrit aussi les rêves. Après le passionné et passionnant Gastón et grâce à lui, suis aussi entré en contact avec Luis Lamberti, brillant sujet argentin, carrière dans la banque et un temps près du pouvoir politique, culture latine et valeurs chrétiennes, un autre descendant de Léon.- Et puis, il y a deux documents exceptionnels :
Avec, en prime, la fantastique documentation rassemblée par Gastón autour de Léon, les laboratoires Caillon Hamonet, la succession de Léon, les témoignages de Luis Lamberti et maintenant ceux de Gastón Eduardo Lamberti, ...et j’ai fait le rêve immodeste de rassembler ces différentes sources en un document de synthèse, un roman feuilleton découpé en épisodes que l’on pourrait suivre sur ce site, à côté de la version papier (en format pdf). Plus justement, cette relation pourrait s’intituler « Something of Argentina Hamonets’ », titre d’un texte écrit par Luis Lamberti sur lequel nous reviendrons.
Pardon à Kipling et à Luis de les avoir plagiés en reprenant l’expression comme sous-titre de cette relation, mais les mots de Luis, au-delà de la référence littéraire, sont forts justes et soulignent bien les limites de l’entreprise : « L’effort pour raconter l’histoire des descendants de Léon Hamonet dans la dernière moitié du XXe siècle dépasse nos forces. Raison de plus, pour tenter, ici, de rassembler quelques éléments du puzzle, ceux qui sont parvenus jusqu’à nous grâce à Marie-Louise Hamonet (1861-1965, France), Jacqueline-Clap Taillebois (1927- , France), Agustin Gastón Hamonet (1965- , Argentine), Luis Lamberti (1962- ,Argentine), et aujourd’hui, Gastón Eduardo Lamberti (1954- , Argentine) Pour faire œuvre de mémoire, même avec ses limites,
Bernard Challet,
Illustration de couverture d’Olivier Bonnin, fils d’un premier mariage de Jacqueline Clap-Taillebois
Dans les épisodes qui suivront nous comptons aborder :
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